Rémissions et guérisons humaines et animales de cancers incurables.
Nombreuses, elles concernent de multiples pathologies où est impliqué le système immunitaire. Ce n’est qu’une énumération de cas et non une expérience scientifique. Cette accumulation de témoignages dont plusieurs cas histologiquement prouvés est troublante. Plusieurs médecins hospitaliers – dont le président régional de l’ordre – en ont été convaincus et ont publié avec courage les observations de cas désespérés qu’ils avaient confié au traitement « Priore ».
Antoine PRIORE voulait guérir des cancers humains. Certains médecins tentèrent de traiter par sa méthode quelques cancers dépassés chez des malades qui avaient épuisé toutes les thérapeutiques traditionnelles.
Ces tentatives thérapeutiques ont été faites avec beaucoup de prudence et de réserve par la faculté de médecine, car elles s’adressaient à des êtres humains de 50 kg traités par un appareil conçu pour guérir des souris de 20 g voire des rats de 300 g -plus quelques chats et chiens-). Les résultats sur les 12 cas de malades hospitaliers traités durant cette période furent modestes, ce qui n’est pas surprenant étant donné leur gravité. Il y eut, dans tous les cas, une nette amélioration de l’état général des patients, quelques cas de prolongement de vie au-delà des espérances médicales et un cas de guérison certaine. Le contraste entre les résultats étonnants de l’expérimentation animale et des résultats inconsistants chez l’homme a probablement plusieurs causes parmi lesquelles on peut en particulier citer :
- les insuffisances de de puissance de l’appareil utilisé (les organismes animaux étaient complètement irradiés, contrairement aux organismes humains) ;
- les cas traités étaient désespérés et les malades avaient souvent subi des chimiothérapies et radiothérapies ayant considérablement détérioré leur système de défense immunitaire.
Les enseignements tirés des recherches sur le « champ Priore » soulèvent de grands espoirs si on considère que les cancers traités avec un succès relatif par d’autres techniques d’électricité médicale (Lakowski) l’ont été pendant des durées brèves (10 / 20 mn, au maximum une heure par séance, deux à trois fois par semaine) alors qu’on sait l’importance de la durée totale d’exposition.
Comme l’ont montrées les guérisons de cancers chez le rat à un stade tumoral très avancé à la condition de traiter beaucoup plus longtemps (jusqu’à 10 heures /jour)
Il est souhaitable de traiter deux, trois, quatre heures ou plus, quotidiennement durant la première phase et d’autant plus longtemps que la puissance du rayonnement est faible et que la tumeur est plus volumineuse. Cette puissance conditionne le temps de traitement et les possibilités d’éliminer des tumeurs profondes ou agressives. Nous sommes convaincus qu’on peut rapidement et facilement progresser dans la mise au point d’appareils d’une efficacité telle qu’ils permettront l’application de séances courtes (avec certain appareil fonctionnant sous très haute tension Priore ne traitait que cinq à dix minutes par jour chiens, chats et humains avec des résultats stupéfiants).
L'élimination de la tumeur passe essentiellement par un mécanisme immunitaire dont l’action est grandement facilitée par la visualisation des anomalies membranaires. De plus ses performances sont démultipliées intrinsèquement. Il faut donc traiter la tumeur directement mais aussi, si possible l'ensemble de l'organisme pour stimuler les organes du système réticulo-endothélial (ce sont les organes qui produisent les cellules responsables de l'immunité).
Naturellement dans l’état actuel des choses, ce traitement ne saurait supplanter d’autres thérapeutiques, en particulier la chirurgie destinée à réduire la masse tumorale. Il faudra cependant porter la plus extrême attention à ne pas amoindrir durablement le système immunitaire qui est le support de l’action.
Le sujet est vaste et nous ne souhaitons pas faire une simple énumération des résultats chez l’homme. Il ne s’agit pas d’une étude statistique menée suivant les critères habituels mais un recueil de succès dont l’accumulation doit conduire au moins à s’interroger. On peut d’ailleurs faire état dans certains cas de biopsies effectuées avant et après traitement prouvant la guérison.
Rappelons que cette guérison est absolument incontestable et parfaitement reproductible sur des souris (20 grammes) atteintes de cancers incurables, sur des rats (250/ 300 grammes), sur des chats et des gros lapins pesant plusieurs kilos. On atteint ainsi le poids d’un bébé et cette seule possibilité est déjà un fantastique espoir dans la mesure où les paramètres de traitement sont – hormis la puissance fonction du poids – les mêmes chez l’homme et chez l’animal.
Rappelons que cette guérison est absolument incontestable et parfaitement reproductible sur des souris (20 grammes) atteintes de cancers incurables, sur des rats (250/ 300 grammes), sur des chats et des gros lapins pesant plusieurs kilos. On atteint ainsi le poids d’un bébé et cette seule possibilité est déjà un fantastique espoir dans la mesure où les paramètres de traitement sont
- hormis la puissance fonction du poids
- les mêmes chez l’homme et chez l’animal.
Les guérisons chez l’homme adulte ne sont pas systématiques. Priore en savait la raison. Ces guérisons auraient été infiniment plus nombreuses s’il n’avait pas eu à traiter en grande majorité des cas désespérés, souvent en phase terminale et même à ce stade s’il avait pu disposer d’un matériel dont la puissance eut été en rapport avec le poids du corps à traiter (70 Kilos chez l’adulte à comparer à un chat de quelques kilos voire une souris de vingt grammes, il faut encore multiplier la puissance par 25 dans un cas, 300 dans l’autre). On arrive ainsi au dernier appareil monstrueux le M 600 (trois étages ! dix tonnes)
Dans le domaine du cancer proprement-dit, il faut distinguer entre les résultats que Priore obtient sur les cancers animaux qui sont constants, reproductibles et effectués sous le contrôle direct de biologistes et de médecins d’une part et les succès humains qui ne répondent pas à la méthodologie habituelle en la matière. Par exemple il n’existe pas d’expérimentation dite « en double aveugle » ni même d’argument statistique.
L’accumulation des résultats, les cas de rémission inespérées sur des cancers en phase terminale, les guérisons authentifiées par des biopsies avant et après traitement (nous en citeront plusieurs exemples), la disparition ou la considérable atténuation des douleurs, l’amélioration constante de l’état général, la rechute systématique après rémission en cas d’arrêt prématuré du traitement, les témoignages unanimes de satisfaction forment l’essentiel des arguments. Mais quels arguments !
Et rappelons une dernière fois qu’on faisait appel à Priore quand toutes les autres thérapeutiques avaient échoué, « au cas où », à un stade dramatique de la maladie. La gravité des cas traités ne laissait aucun espoir. Les archives thérapeutiques n’étaient pas le fort de l’inventeur. Par ailleurs les dossiers médicaux étaient propriété de l’hôpital ou des médecins et aboutissaient rarement chez Priore. Toutefois, on peut tirer des archives plusieurs cas circonstanciés de guérison, assortis de biopsies (examen microscopique). Selon le Pr. Pautrizel, médecin hospitalier d’une intégrité absolue il existe des dizaines voire des centaines de dossiers similaires.
Avec l’accord des médecins (FOURNIER, PRINCETEAU, CONNARDEAU et DAGREOU), Priore entreprend le traitement de nombreux malades atteints de cancers incurables. Aux funérailles d’Antoine PRIORE, en mai 1983, on pourra rencontrer d’anciens patients jugés incurables dans les années 1950 – 1960.)
Quelques fiches :
Mme MASSE, 1956. Cancer du sein.
Après le traitement la tumeur a disparu et la patiente était toujours en bonne santé vingt-cinq années plus tard.
M. PREVOT 1958 : une ulcération de la lèvre.
C’est un sarcome fibroblastique qui disparaissait après traitement …sans récidive
Nous citerons le cas de Gaston R. En 1955 le compte-rendu d’analyse microscopique d’une biopsie du larynx est formel : épithélioma (Dr. Biraben, compte-rendu n° 72741 du 10/03/55). C’est un cancer du larynx au stade de début. Le patient refuse l’intervention pour se soumettre deux mois durant au « traitement Priore ». Nouvelle biopsie : simple hyperplasie c’est à dire une anomalie cellulaire bénigne (il y a la même différence entre une hyperplasie de la muqueuse utérine qu’on soigne par un traitement hormonal et un cancer de l’utérus avec les conséquences thérapeutiques qu’on devine) mais en aucun cas un cancer. Autrement dit le traitement a transformé une cellule cancéreuse en cellule saine mais à surveiller. Une petite nuance mais une énorme différence : dans un cas il y a cancer, dans l’autre pas. (*)
- (*) Nb : les observations microscopiques montrent que le « champ Priore » permet, outre une destruction de la majorité des cellules cancéreuses (CC) par le système immunitaire, une « réversibilité néoplasique » d’autres CC. C’est à dire comme l’avaient noté dès 1960 les médecins du centre anti-cancéreux de Bordeaux « que tout se passe comme si ces cellules avaient perdu leurs caractéristiques cancéreuses ». Elles sont en quelque sorte redevenues normales, et d’ailleurs si elles ne le sont pas assez aux yeux du système immunitaire, il se chargera de les éliminer.
- nb. : On trouve ce phénomène de réversion néoplasique dans certains types de leucémies où les leucocytes (globules blancs) monstrueux reviennent à une forme normale sous l’action de certains médicaments.
Autre exemple daté de 1954. Il concerne un garçon de douze ans, Alain B. Conclusion de l’analyse microscopique de prélèvements : réticulosarcome malin. Soit un arrêt de mort à très court terme. Il s’agit d’un redoutable cancer du système lymphatique. (compte-. rendu microscopique N°132421, Dr. Angibeau, hôpital de Saintes, Charente.). Malgré cette terrible sentence l’adolescent bénéficiant uniquement du traitement de Priore va guérir totalement et définitivement de cette terrible maladie au point que douze ans plus tard, en 1966, son médecin lui rédige un certificat attestant chez lui l’absence de maladie chronique (Dr. J. Moulinier).
Encore un exemple que nous devons à G. Courty, futur président du conseil régional de l’Ordre des Médecins, chef de service de pneumologie, médecin intègre et peu suspect de complaisance. Il est persuadé que Priore, peut-être par hasard, a mis la main sur quelque chose de très important et le déclare courageusement dans les médias.
Plus courageusement encore il publie avec le Pr. Dubourg, la référence bordelaise en matière chirurgicale de l’époque, une étude comprenant une douzaine de cas majoritairement pris dans son service. Il faut savoir le caractère tout à fait exceptionnel d’une telle démarche dans un milieu médical et universitaire où le jugement permanent de ses pairs et l’éthique médicale impose la plus extrême prudence et des protocoles rigoureux. Prenant le risque de compromettre irrémédiablement sa carrière, il va présenter à l’Académie des Sciences un mémoire où sont étudiés une douzaine de cas. Ce sont tous des cancers inopérables, incurables, en phase terminale.
Les sept premiers cas sont des cancers du poumon. Ils confirment l’amélioration systématique de l’état général qualifiée de remarquable par les médecins. Les malades reprennent de l’appétit, de la force musculaire, se lèvent à nouveau et ne souffrent plus. Simultanément on assiste à une amélioration de la V.S. (examen biologique témoin du taux d’inflammation de l’organisme) et de l’anémie associée. Ils ne peuvent être traités qu’une heure par jour (ce qui est largement insuffisant à ce stade) et vont mourir paisiblement.
Les cas suivants sont encore plus intrigants. Rappelons qu’il s’agit de cancers incurables.
– Mr. T. cancer du poumon inopérable et dépassé :
Discrète chimiothérapie sans effet sur la tumeur (ce traitement n’a jamais guéri à lui seul un tel cancer à un tel stade). « Traitement Priore » plusieurs heures par jour. Résultats à huit mois : fonte des adénopathies médiastinales (ce sont d’énormes masses ganglionnaires liées au cancer, qui ont tôt fait d’étouffer le malade et le tuent plus vite encore que la tumeur). Vingt mois après ce malade perdu vit dans un très grand confort malgré la lente évolution de sa tumeur.
– Mme T. est opérée en 1977 d’une récidive de tumeur au cerveau confirmé par biopsie (astrocytome c’est à dire une épouvantable tumeur, totalement incurable). On essaie de ralentir l’évolution par chimio et radiothérapie. Échec total. En Fevrier1978 devant l’imminence de l’issue fatale, « traitement Priore ». Près de deux ans après (la communication est rédigée en décembre 1979) cette patiente considérée comme perdue vit toujours !
– Mme D. cancer du rectum très évolué.
Refuse les traitements traditionnels. Réduction de moitié du cancer sous « traitement Priore ». Rechute et aggravation rapide au moment d’une panne de trois semaines.
– Mme D. cancer inopérable du vagin avec extension à la vessie. Diminution de moitié après cinq semaines de « traitement Priore ». Amélioration considérable de l’état général. Malgré tout reprise de l’évolution tumorale au bout de trois mois. Le traitement, comme dans les cas de cancers du poumon cités plus haut n’a fait que repousser l’échéance fatale en permettant cependant un bien meilleur confort.
– Mme P. cancer du rectum très adhérent, refusant l’intervention chirurgicale, elle est condamnée. Malgré une radiothérapie palliative (qui ne peut en aucun cas guérir le cancer à ce stade) aggravation de la tumeur. Nous sommes en 1977. « Traitement Priore » quotidien durant neuf mois. Disparition complète de la tumeur. Plusieurs biopsies négatives en 1979. Conclusion des médecins : GUERISON.
Ces quelques cas sont loin d’être les plus démonstratifs. Et puis il s’agit de cancers au dernier stade. Songeons à ce qu’on pourrait faire sur des cancers moins avancés. (et il n’est pas interdit d’associer ce traitement avec certains traitements conventionnels qu’il potentialise. Voir au-dessous). Il s’agit de quelques cas parmi des centaines. Ils émanent de sources universitaires et le fait que des médecins de ce niveau s’engagent en dit long sur l’importance des résultats.
L'avenir proche...? Place du "traitement CELP au côté des thérapeutiques classiques.
Comment définir cette place ? le jour où nous disposeront d’un appareillage puissant et fiable, la plupart des indications des thérapeutiques actuelles dans les cancers et les maladies dégénératives seront obsolètes. En attendant ce temps béni on peut résumer ainsi les indications des « champs Priore » (encore appelés CELP : champs électriques polarisés Priore et leur emploi en médecine : « PRIORISATION ».
A – Le traitement des lésions précancéreuses, quelques exemples :
- l’œsophage, l’estomac
Certaines situations en particulier abus d’alcool, mauvaise dentition, stress chronique, etc., entrainent un état inflammatoire de l’œsophage, prédisposant à un cancer gravissime.
On peut essayer d’enlever le ou les facteurs déclenchants mais c’est parfois trop tard pour enrayer l’évolution. L’œsophage n’est pas encore cancéreux mais il peut le devenir quoi qu’on fasse. On se contente de le surveiller régulièrement afin de pouvoir opérer dès les premiers signes du cancer. (il s’agit d’une intervention très mutilante, mal supportée et peu efficace).
Le « champ Priore » (CEP) peut trouver là une excellente indication car il est particulièrement efficace dans les cancers débutants et encore plus au stade où la cellule va basculer d’un état d’anomalie pré-cancéreuse à un état cancéreux.
Il semble agir en faisant apparaitre les caractéristiques cancéreuses portées par les membranes des cellules tumorales (CC) permettant ainsi au système immunitaire de les reconnaitre et de les éliminer.
- les états pré-cancéreux de la peau et des muqueuses :
certaines lésions précancéreuses du visage, de la muqueuse de la bouche ou de la muqueuse vaginale présentent un grand risque de dégénérer en véritable cancer. La destruction chirurgicale ou par cautérisation n’est pas toujours possible et les récidives sont la règle. Aucun médicament n’est efficace. Il n’existe guère d’autre attitude qu’une surveillance régulière.
La frontière entre état pré cancéreux et état cancéreux irréversible est ténue. Le basculement de l’un vers l’autre est aisé. Le CELP peut annuler le devenir de ces lésions (plusieurs biopsies en témoignent) car il suffit de peu de chose à ce stade, pour orienter leur avenir dans un sens favorable ou non.
B – Cancers débutants ou peu sensibles aux traitements classiques : certains cancers cutanés ou de la prostate ou du sein à leur début.
1- cancer du visage aux limites imprécises situé près de l’œil dit « spino- cellulaire » (voir page « les guérisons de Lakowski »). Ce type de cancer est peu sensible aux traitements classiques. De plus il est difficile d’envisager une radiothérapie en raison de la proximité de l’œil. De même un geste chirurgical laissera en place une partie de la tumeur pour ne pas blesser cet œil. Elle ne manquera pas de récidiver. Le traitement CEP permet sans aucun inconvénient de se débarrasser de la tumeur avec d’autant plus de facilité qu’elle est superficielle.
2 – cancer débutant de la prostate (CP) : de nombreux sujets âgés décédés d’une autre maladie que d’un cancer de la prostate présentent des foyers de cancer prostatique inaperçus. Ils n’ont pas évolué malgré l’absence de traitement. On peut donc chez l’homme âgé traiter un cancer de la prostate dont on ignore l’évolution (peut-être sera-t-il stable toute sa vie) uniquement par un traitement antihormonal destiné à le freiner.
Il en est tout autrement chez le sujet jeune dont le cancer est souvent très agressif. Au stade de début de ce cancer, on est certain que d’une chose : l’aggravation est très probable.
Deux questions s’imposent : 1 / faut-il traiter ce cancer de la prostate débutant ? 2 / avec quels moyens ?
On considère la vitesse de croissance de la tumeur, les métastases éventuelles, l’âge du patient, etc. Le protocole de traitement est très lourd et discuté. Il associe souvent radiothérapie, chimiothérapie et chirurgie sans qu’on soit sûr de l’efficacité de l’ensemble. Ce dont on est sûr c’est qu’à partir d’un certain stade ce cancer va évoluer inexorablement et que les traitements classiques auront beaucoup de mal à le freiner.
Le traitement par CEP aurait ici toute sa place, s’agissant d’un cancer à son début, peu sensible aux thérapeutiques habituelles. De plus la localisation de la tumeur la rend très accessible aux traitements électriques tant externes qu’internes (sonde urétrale ou rectale, la prostate se situant à quelques centimètres de l’anus). De plus rien n’empêche d’enlever chirurgicalement la plus grande partie de cette tumeur pour faciliter l’action des CELP sur le tissu cancéreux resté en place.
3 – cancer débutant du sein, les mastoses et autres anomalies chroniques du sein.
Parfois il est difficile de trancher entre cancer du sein débutant et lésion bénigne à surveiller. D’ailleurs, en dehors de l’incertitude diagnostique, une lésion bénigne peut parfaitement évoluer vers un cancer. Imaginez la vie d’une femme suspendue tous les six mois au verdict du radiologue !
En intervenant avant la catastrophe le traitement permettrait de renverser la tendance à la cancérisation et éviterait des milliers de mutilations de précaution. On rêve d’un tel traitement appliqué sur une anomalie du sein dont la radio ou la biopsie n’est pas formellement rassurante. Combien d’interventions légitimées par le doute ainsi évitées ! Combien d’évolution vers le cancer enrayées ? Et que d’angoisses épargnées !
C – Les grosses masses tumorales et les cancers généralisés
Un jour nous disposerons d’appareils d’une efficacité telle que nos techniques mutilantes actuelles apparaitront moyenâgeuses. Pour l’avenir proche la mise au point de générateurs de CELP de puissance encore insuffisante nécessitera au moins quelque temps d’être associés aux traitements anticancéreux classiques.
Exemple : supposons un cancer profond, donc moins accessible aux CELP. On peut combiner ceux-ci à une intervention chirurgicale préalable, pour diminuer le volume tumoral. La radiothérapie peut garder ses indications si elle ne gêne pas l’action du CELP. Seule la chimiothérapie anti-cancéreuse est à redouter. Si elle s’avère utile il faut la décaler pour permettre au système immunitaire de se reconstituer avant traitement CELP (son l’efficacité passe par la stimulation de ces défenses naturelles).
Au total, bien loin d’opposer les deux méthodes, leur association les potentialise. Bien des cancers résistant à la radiothérapie et répondant modérément aux CP devenir sensibles à l’association des deux.
D – un intérêt tout particulier pour certaines maladies auto immunes (SEP, poly et spondylarthrites, etc.) qui sont des anomalies de la réponse immunitaire.