ASPECTS BIOLOGIQUES : mécanisme antitumoral anti-infectieux et régénératif des champs électrostatiques polarisés (CELP)
Priore peut régler ses appareils pour aggraver ou guérir la plupart des tumeurs. L’animal guéri devient réfractaire à la réimplantation de la tumeur mais pas protégé vis à vis d’une autre. Il s’agit d’une immunité sélective. Même phénomène avec les expériences d’infection.
Les succès plus relatifs chez l’homme, surtout sur les cancers profonds, s’expliquent par le manque de puissance de ses appareils compte-tenu de la différence de poids.
Priore a passé sa vie à augmenter cette puissance. La plupart des expériences animales auxquelles il s’est soumis n’avait qu’une valeur démonstrative pour ses commanditaires.
LES DEUX EFFETS « PRIORE ».
Selon les caractéristiques du rayonnement, l’effet est totalement opposé. On parle de champ favorable et de champ nocif. Priore a testé ces deux champs sur différents modèles. Les appareils sont conçus pour produire les deux effets jusqu’en 1965 puis Priore modifie sensiblement ses schémas (voir brevet PRIORE 1962, 1966) et ne s’intéresse qu’à l’effet favorable.
Ainsi dans les expériences suivantes :
1 – Plantes :
En champ nocif, quelques minutes sous l’appareil dessèchent toute plante sans élévation de température. En inversant le champ les plantes « ressuscitent » et se redressent en quelques minutes. D’autre part si on traite de jeunes pousses avec des séances quotidiennes durant plusieurs jours, on provoque une spectaculaire accélération de leur croissance ou leur mort suivant le sens du champ appliqué.
Seule une inversion de la polarité des champs électriques de l’appareil peut influencer la montée ou le blocage de la sève (elle est négative) et non une variation de température (ce n’est pas un four à microondes).
2 – Œufs en incubation greffés ou non de tumeurs
Suivant le type de champ, résultats radicalement différents :
- Œufs « normaux » (non greffés de tumeur) : Quelques minutes quotidiennes en champ favorable raccourcissent de plusieurs jours le temps d’éclosion des œufs sans tumeur greffée. A l’éclosion les poussins étonnamment développés donneront des poulets énormes.
En champ nocif la majeure partie des embryons meurent dans l’œuf, de rares poussins naissent très chétifs. Aucun ne survivra !
- 0eufs greffe d’une tumeur sur la membrane de l’embryon du futur poulet :
Un lot d’œufs greffés de tumeur ( épithélioma) en incubation soumis au champ favorable 5 minutes par jour 20 jours donne 100% de naissances normales à 21 jours (terme habituel) ; les poussins sont vigoureux. AUCUNE TRACE DU GREFFON TUMORAL !
Le second lot est soumis au champ nocif dans les mêmes conditions : aucune naissance à 21 jours. Tous sont morts car LA TUMEUR S’EST NORMALEMENT DEVELOPPEE, tuant l’embryon.
- 3 – Tumeurs : voir le détail dans la page quelques résultats expérimentaux :
Rats et autres animaux porteurs de cancers :
Une série d’expériences portant sur plusieurs centaines de rats atteints de tumeurs incurables est menée en collaboration avec les cancérologues de Bordeaux dans les années 50 et 60. Elles montrent la disparition définitive des tumeurs (95%) en utilisant le champ bénéfique. À contrario le champ nocif précipite la mort par l’accélération du développement tumoral.
4 En conclusion,
Plantes, bactéries, levures, œufs, tumeurs et tissus vivants en général répondent à l’action du « champ Priore » en stimulant ou en freinant leur développement et leurs défenses selon qu’il est bénéfique ou nocif. Ces propriétés sont liées à des caractéristiques techniques, en particulier la polarité des champs électriques. Mais aussi semble-t-il certaines fréquences préférentielles (résonnance ?). Elles font l’objet d’un autre chapitre.
HYPOTHESE du MECANISME BIOLOGIQUE
A-Action directe : membrane cellulaire, pH, tension superficielle, enzymes :
Au début des années 50, Priore. Le mode d’action du rayonnement est étudié par son principal collaborateur le Dr. Fournier. C’est un médecin de campagne muni de solides notions de biochimie. Avec Priore il conduit une série d’expériences sur divers liquides organiques alimentaires : vin, lait, huiles, vinaigre, champagne, bière, sang …etc.
Ses constatations rejoignent celles que G. Lakowski avait effectuées vingt ans plus tôt. Ce savant français testait sur ces mêmes liquides un générateur de champs électriques dénommé « Radio -cellulo -oscillateur « . (Voir le chapitre LAKOWSKI). Cet appareil, plus rudimentaire, avait d’étonnants points communs de fonctionnement (*) avec celui de Priore (qui en ignorait l’existence). Utilisé chez les cancéreux à l’hôpital de la Salpetrière à Paris et en Italie dans les années 30 il avait permis de nombreuses rémissions et guérisons.
(*) essentiellement la production de champs électrostatiques unidirectionnels Haute Fréquence (CELP), source de l’effet thérapeutique
Fournier observe : Le « traitement « accélère incroyablement le vieillissement des vins et améliore les qualités organoleptiques (gustatives) de nombreux produits.
Il mesure la tension superficielle (le pouvoir « mouillant ») (** voir fin de chapitre) et le pH (le taux d’acidité) de divers liquides biologiques ainsi traités.
Les particules en suspension du vin nouveau traité par cette technique sédimentent en quelques secondes au lieu de plusieurs jours (c’est la lie). Le Champagne et la bière moussent au point de déborder rapidement et d’une manière générale les émulsions floculent (c’est à dire que les corps en suspension, les grosses molécules organiques s’agglomèrent et tombent au fond).
Ce phénomène est lié à une modification de la tension superficielle de ces grosses molécules en suspension dans ces liquides. Il est associé à une modification de leur charge électrique mesuré par la variation du pH. Celle- ci peut atteindre deux points (0,1 ou 0,2) en plus ou en moins du point d’équilibre. Ce qui est très significatif pour certains liquides organismes vivants. Le sens de cette variation dépend de celui du CELP : diminution en champ nocif (acidification), augmentation (alcalinisation) en champ favorable.
Cette variation du pH et de tension superficielle, etc., sous l’influence du « Champ Priore » est capitale. Elle conduit à l’explication des effets biochimiques.
Fournier émet une l’hypothèse : la modification de la charge électrique en (+) ou en (-) de la membrane cellulaire intéresse particulièrement les enzymes de surface, clés du fonctionnement cellulaire.
Les enzymes sont d’énormes protéines qui contrôlent l’entrée ou la sortie d’ions et de diverses molécules absorbées ou sécrétées par la cellule. En bref ses échanges avec le milieu extérieur. C’est ce qu’on appelle la perméabilité cellulaire.
La charge électrique portée par les enzymes influence considérablement leur fonctionnement. Une légère variation de celle-ci dans un sens ou dans un autre entraîne d’énormes différences de rendement allant jusqu’à un renversement des réactions qu’elles contrôlent. On peut accélérer, freiner ou inverser une réaction enzymatique simplement en modifiant cette charge électrique.
C’est ce que font les CELP en modifiant la charge électrique des grosses protéines de la membrane cellulaire.
Fournier vérifie son hypothèse sur la fermentation du vin nouveau et note une variation de pH dont le signe est fonction du sens du champ appliqué.
Le vin nouveau contient des levures vivantes qui transforment l’alcool en sucre par le jeu de réactions enzymatiques bien connues. C’est la fermentation. Fournier effectue une curieuse démonstration : accélérer, freiner, inverser puis faire repartir à volonté cette fermentation suivant le type du champ appliqué (les réglages sont préétablis, on peut passer d’un champ à l’autre en quelques secondes).
Une des cibles du rayonnement se situe donc au niveau des enzymes, qui orientent les réactions biochimiques vitales de la cellule de manière radicalement différente suivant l’importance et le signe de leur charge électrique. Ceux-ci sont influencés par le sens du CELP.
- D’autres Arguments confirment l’action directe :
Vin et champagne : accélération du vieillissement, modification du pH par action directe (Il n’y a plus de levures)
Cultures cellulaires : (expériences anglaises) In Vitro, donc en dehors de l’organisme l’exposition en champ « favorable » ralentit la multiplication des cellules cancéreuses (CC) et augmente leur taux de « suicide » (apoptose) qui est multiplié par trois. Anti-oxydation (« réduction ») des parfums et des vins
- Action directe sur les performances du système immunitaire :
Exemple : élimination d’une infection parasitaire gravissime (trypanosomiase ou maladie du sommeil) : les antigènes masqués des trypanosomes (Tr) sont des sucres difficilement repérables par le système immunitaire et peu immunogènes ; de même que certains antigènes masqués des Cellules cancéreuses (CC).
Or les CELP développent les performances propres du SI même en dehors d’une stimulation antigénique (effet de régénération ? : voir page) : celui-ci est bien plus performant si on irradie l’organisme par les CELP avant inoculation d’un antigène … les CELP améliorent donc intrinsèquement les capacités du SI.
Remarque : La régression et disparition de la greffe tumorale sur des œufs en incubation ne peut être le fait de défenses cellulaires (lymphocytes B ou T, etc.) car inexistantes. L’expérience d’AMBROSE montre une forte augmentation de l’apoptose et un frein +++ à la multiplication cellulaire des CC. Ceci pourrait expliquer cette constatation.
Physicochimie :
Le CP modifie le pH qui varie en + ou – selon la polarité du champ (jusqu’à 0.02 mesurés sur sang d’animal traité par rapport au pH d’un animal « normal au repos »). Cette variation s’accompagne dans certains liquides en fermentation (vins nouveaux par exemple) d’une inversion de réactions enzymatiques pH dépendantes. Et même un vieillissement accéléré des vins et au contraire la stabilisation des parfums (action anti oxydante).
Il existe également des modifications importantes de tension superficielle. Elles se traduisent par l’abattement de la lie du vin nouveau, ou l’augmentation spectaculaire de la vitesse de sédimentation du sang hépariné.
On explique ceci par l’agrégation des particules en suspension. Cette agrégation est liée à la baisse de la tension superficielle : c’est la « mouillabilité » : plus elle est importante plus les particules se rapprochent voire adhèrent les unes aux autres.
Les cellules immunitaires (lymphocytes B et T, C. NK et autres) se comportent comme des particules en suspension. Leur « mouillabilité » est essentielle pour qu’elles se rapprochent et adhèrent aux CC afin de reconnaitre leurs anomalies cellulaires * et **.
En augmentant leur mouillabilité le CELP permet de bien mieux percevoir leurs défauts.
* Pr Khan directeur du centre Pompidou expliquait : nous avions génétiquement modifié certaines cellules immunitaires pour attaquer la tumeur de Mr. X ; in vitro ça marchait très bien : aucune CC n’en réchappait ; in vivo nous en avons retrouvé partout … sauf dans la tumeur (!) : ; elles s’approchent à peine de celle-ci et ne peuvent donc effectuer leur travail de reconnaissance et d’élimination.
(Traduction ARTEC : les plus performantes cellules immunitaires sont inefficaces s’il y a un manque de mouillabilité.)
C-Conclusion :
Ces modifications de perméabilité membranaire par CP suffisent à influencer des organismes simples : levures, et certaines réactions enzymatiques.
L’action directe sur les CC hors de l’organisme est cependant partielle. Or des centaines d’animaux vont être guéris de tumeurs incurables ou d’infections mortelles. Le mécanisme principal est donc ailleurs : Il est indirect. Il sera découvert dix ans plus tard par Pautrizel : en champ favorable le CP provoque une intense stimulation des capacités de défense de l’organisme (ou un effondrement en champ nocif).
Nb on peut expliquer l’absence de développement d’une tumeur greffée sur la membrane allantoine d’œufs en couvaison par les le frein très important aux mitoses notées sur des cellules cancéreuses cultivées in vitro et soumises aux champs Priore (expériences. Pr. AMBROSE)
B - l'action indirecte passe par le système immunitaire
Les arguments expérimentaux : (Voir la page « quelques résultats expérimentaux »)
Ils résultent de centaines d’expériences conduites par les meilleurs biologistes de l’Université et de l’INSERM. Toutes sont effectuées en champ « favorable ».
Il existe deux grands types d’immunité : l’immunité cellulaire : les cellules compétentes (certains globules blancs) détruisent directement la tumeur, la bactérie etc., et l’immunité humorale qui aboutit à la sécrétion d’anticorps dirigés contre l’ennemi ». Les deux systèmes coopèrent.
Suivant ses réglages, Priore peut agir préférentiellement sur l’un ou l’autre.
Immunité cellulaire : expériences de cancérologie (page « quelques résultats expérimentaux »)
Sous la direction de Courrier plusieurs communications scientifiques relatent les guérisons de tumeurs incurables chez les rats dans des délais variables. La vitesse de résorption de la tumeur dépend de la durée et de la puissance de l’irradiation.
Il s’agit de tumeurs variées d’évolution très rapide, résistant à toute thérapeutique. les résultats sont identiques quel que soit le type de tumeur inoculée ou spontanée. Il n’y a jamais de reprise du processus cancéreux, même à très long terme.
Après guérison les animaux sont réfractaires à toute nouvelle réimplantation d’une tumeur de même type. Cependant une tumeur différente se développe sans problème.
L’immunité est donc très spécifique : si après guérison d’une tumeur on greffe une tumeur d’un autre type, celle -ci SE DEVELOPPE NORMALEMENT. Cette spécificité est capitale. Elle indique qu’il ne s’agit pas d’une stimulation aveugle des défenses mais d’une meilleure reconnaissance des antigènes anormaux portés par la membrane de la CC.
Cette spécificité est illustrée par les travaux sur les greffes : normalement une greffe d’organe entre deux animaux d’une lignée pure (mère / fille par exemple) est acceptée. Les antigènes ne sont pas identiques mais très similaires. Si on soumet la mère greffée avec la peau de sa fille au CELP elle rejette la greffe : son système immunitaire a pu reconnaître chez elle les différences antigéniques minimes entre les cellules de la mère et de la fille. Ainsi explique-t-on la reconnaissance par le système immunitaire « dopé » par CELP des antigènes anormaux très faiblement exprimés ou en partie masqués par les tumeurs.
Le traitement est totalement inoffensif. L’état général des animaux est excellent, le poil superbe. Ils ne souffrent plus (phénomène noté dans tous les cas humains).
Nb Dr. Dagréou ( histologie) : « Alors que dans le carcinome de Guérin* non traité, les coupes histologiques montrent une juxtaposition désordonnée des cellules sans stroma intercellulaire, avec des cellules contenant très peu de plasma et des noyaux atteints de gigantisme avec un enchevêtrement de chromosomes, dans les prélèvements faits avant la disparition des greffons chez l’animal en cours de traitement CELP, on voit les chromosomes en train de se lyser et l’apparition entre les cellules de larges travées d’un stroma hyalin. Ce processus ressemble à celui que l’on rencontre dans les cancers qui se montrent sensibles aux traitements classiquement employés. » (*) Cancer incurable inoculés à des lots de souris
Immunité humorale : les anticorps : expériences de Pautrizel sur la souris malade du trypanosome
La démonstration de l’action anticancéreuse du rayonnement est l’œuvre des cancérologues bordelais puis parisiens. Celle du mécanisme immunitaire en revient à R. Pautrizel (INSERM Bordeaux).
Il utilise le trypanosome, parasite agent de la maladie du sommeil qui fait des ravages dans les troupeaux africains. Injecté aux souris sa multiplication est foudroyante. Les animaux meurent en 4 à 5 jours.
Effectuant des centaines d’expériences Pautrizel va guérir des milliers de souris confirmant ainsi les extraordinaires performances de l’appareil. Surtout il démontre et précise le mécanisme immunitaire :
Le taux de guérisons est fonction du temps d’irradiation et de la puissance de l’appareil.
Les anticorps contre le parasite s’élèvent de manière vertigineuse sous traitement.
Outre les taux d’anticorps, d’autres expériences confirment l’implication du système immunitaire :
- Après guérison, les souris résistent parfaitement à la réinfection par le parasite mais beaucoup moins voire pas du tout à une souche différente. Et ceci toute leur vie. Il existe là aussi une action très spécifique.
- L’injection d’une très faible quantité de sérum d’animaux traités et guéris à d’autres animaux non traités les protège contre l’infection.
- L’action du champ nécessite un bon état immunitaire. Si on l’affaiblit par chimiothérapie ou si on s’adresse à des souriceaux au système immature, l’action est nulle ou incomplète.
- On introduit sous la peau des souris des parasites enfermés dans un minuscule chambre imperméable aux anticorps de l’animal. Malgré le CELP les trypanosomes se multiplient normalement.
- Des souris préalablement injectées des seuls antigènes des parasites (et non du parasite lui-même donc pas d’infection possible) puis traitées par CELP, développent un taux d’anticorps considérablement supérieur aux témoins. Ceci montre que le système immunitaire a été également stimulé directement ou que les antigènes ne sont pas masqués dans les replis de l’enveloppe du trypanosome.
Le champ agirait donc en stimulant ou en effondrant directement-selon ses caractéristiques-la faculté de reconnaissance des antigènes anormaux par le système immunitaire. Stimulation directe de certains lymphocytes ? modifications physicochimiques des milieux organiques ? D’autres études pourraient trancher …
En résumé hypothèse du mécanisme immunitaire
Le système immunitaire (SI) est sensible aux antigènes (= motifs) portés par la surface des membranes cellulaires. Ils sont une caractéristique de l’individu. Le SI élimine toute cellule ou élément qui ne présente pas exactement ces « signes de reconnaissance personnels » qu’ils soient extérieurs (bactérie, virus, corps étranger, etc.) ou appartenant à l’organisme mais anormaux (cellule cancéreuse, usée, malade, etc.).
Habituellement toute cellule cancéreuse est éliminée car elle porte des antigènes anormaux. Certaines échappent pourtant à cette destruction car elles masquent ces défauts. Elles se multiplient à l’identique (clones). La tumeur va croitre sans encombre.
Le CELP modifie dans un sens ou dans l’autre la charge électrique membranaire. Ce qui aboutit à un bouleversement du relief membranaire, de son aspect, et fait apparaître ou disparaître les antigènes anormaux qui s’y dissimulent plus ou moins parfaitement.
En champ favorable tout se passe comme si la membrane se « déplissait » démasquant ainsi ces motifs ; aussitôt les lymphocytes vont fondre sur les CC et les détruire. En champ nocif c’est le contraire : le système qui voyait déjà très mal les antigènes ne les voit plus du tout. La croissance de la tumeur s’emballe.
C-- L'effet de régénération (voir page régénération vie éternelle)
Le champ Priore (favorable) améliore nettement la qualité de la peau et des poils des animaux. Cet effet de régénération est particulièrement bien illustré par le lapin infecté
par le parasite.
Celui-ci développe une maladie chronique qui touche particulièrement les testicules qui « pourrissent » à tel point qu’une simple traction les arrachent ! Le microscope montre une nécrose totale des testicules avec disparition de la production de spermatozoïdes. Même à ce stade une irradiation CELP prolongée (10 heures par jour) permet outre la guérison de la maladie, la RECONSTITUTION du TESTICULE et la reprise de la production de spermatozoïdes parfaitement fonctionnels ! Plusieurs portées de lapereaux en parfaite santé (et suivis durant plusieurs générations) en sont la preuve… vivante.
Ces fonctions de réparation appartiennent à un système qui semble différent du système immunitaire mène s’il existe des points communs. Les effets anti – cancéreux et anti – infectieux des CELP ne semblent n’être qu’un cas particulier d’un mécanisme plus général visant à maintenir l’intégrité de l’organisme appelé « conservation du soi ».
Régénération : … ce n’est pas un rêve !
Le rajeunissement, la régénération et la longévité existent chez certaines espèces.
Chez l’homme certains organes sont régénérés spontanément et fréquemment (citons les lymphocytes (« globules blancs ») responsables des défenses naturelles qui sont remplacés … tous les Huit jours ! les globules rouges … tous les trois mois ! Donc votre sang de ce jour est totalement diffèrent de celui qui vous nourrissait il y a trois mois … en toute discrétion, et sans douleur !
L’exemple des traitements par « ondes ou impulsions électriques » des années 20 (1920 !) régénérant parfaitement la peau de vieillards porteurs de cancers cutanés incurables guéris par cette méthode… ou ressuscitant dans les années 70 les testicules MORTS peut être étendu à n’importe quel organe.
Celui-ci demeure dans un état de santé optimal car il se régénère indéfiniment pourvu qu’on sache déclencher et entretenir ce mécanisme. … et ce mécanisme est mis en route par l’application de ces « champs électrostatiques polarisés (CELP) » … et peut être répété, reproduit à l’infini par des « séances » appropriées.
L’organisme bénéficierait alors d’une éternelle jeunesse (?)…. À la condition de bénéficier de séances régulières (une heure ou deux tous les mois par exemple ? car l’action des CELP n’est pas permanente ; avec le temps elle devient moins efficace). En somme guère plus contraignant qu’un RDV chez le coiffeur ou l’esthéticienne …
Des milliards sont dépensés dans des recherches qui n’aboutissent guère depuis des dizaines d’années ; n’entrons pas dans cette polémique.
La régénération est une fonction naturelle de l’organisme (tout au long de la vie … mais elle est imparfaite, partielle et aboutit du fait de cette imperfection à la mort (programmée) de l’individu).
La technique d’irradiation par ces « CELP » perfectionne et complète ce processus ; la régénération est parfaite. L’action perdure mais sa durée n’est pas infinie car les tissus reprennent leur processus de vieillissement. Ce qui nécessite des séances régulières tout au long de l’existence (mensuelles ? annuelles ?) pour demeurer dans un parfait état physique et de santé
Ceci été largement démontrée sur de petits et moyens animaux ainsi que partiellement sur l’Humain (voir la régénération des rides chez Lakowski). L’application à l’homme pour son corps entier est une question de puissance, donc financière, non d’une technique ou de paramètres différents :