& Laboratoire indépendant ARTEC
Champs électriques anti-cancers et régénératifs
Un siècle de guérisons oubliées maintenant possibles.
Anti-cancer and regenerative electric fields : A century of forgotten cures now possible.
Qui sommes-nous : Docteur B. Murzeau et laboratoire indépendant Artec
Les origines : (voir histoire du laboratoire ARTEC)
ARTEC et Dr Murzeau : vue d’ensemble et ampoule de modulation des champs
La guérison des cancers de maladies dégénératives, la préservation de la jeunesse est à portée de main ! C’est déjà fait !... et ignoré depuis un siècle !
Demain nos traitements actuels (chirurgie radio-chimiothérapie, greffes, etc.) seront considérés comme archaïques !
Telle la salamandre l’organisme est capable de se régénérer … et d’éliminer toute cellule vieillie ou anormale, en particulier cancéreuse …si on sait lui faciliter les choses : en particulier avec certaines impulsions électriques. Cette technique, qui guérissait il y a déjà un siècle (et plus récemment dans les années 50 /75) de nombreux cancers incurables représente un formidable espoir… seule ou en association avec les traitements conventionnels.
Fondé par le docteur B. Murzeau (*), apres plusieurs échecs de la recherche publique (CNRS/ INSERM/ Université) pour reproduire certains appareils anti-cancéreux utilisés avec succès (mais scepticisme) depuis …un siècle (!)
Plus de quarante ans d’enquête et d’expériences permettent de comprendre le fonctionnement d’extraordinaires appareils électriques anticancéreux qui ont accumulé des succès inespérés depuis un siècle, avec de nombreuses guérisons animales ou humaines de cancers incurables… SANS AUCUN EFFET SECONDAIRE. Leurs principaux pionniers Priore et Laskowski sont oubliés. Ces technologies étant obsolète, les principes de réalisation de générateurs modernes sont exposés ici.
A l'origine :
Les guérisons de cancers incurables par champs électriques sont largement prouvées et reproductibles chez les petits animaux (depuis 1950). Également nombreuses chez l’homme si la puissance du rayonnement est suffisante.
L’effet anticancéreux est attribué par erreur soit à des ondes électromagnétiques (Lakowski 1927) soit à l’introduction dans les tissus cancéreux de particules ionisée positives pour combattre une négativité tissulaire censée être responsable de la cancérisation (?). Un exemple parmi d’autres de théorie erronée aboutissant à des résultats réels. La suite l’a démontrée…. Dans les deux cas leurs pionniers ont été dénigrés puis oubliés.
Les premiers cancers furent guéris à l’hôpital de la salpêtrière en …1927 !
Artec :
présente leurs travaux et un résumé de leurs combats ainsi qu’une explication du fonctionnement de ces appareils maintenant obsolètes, (simples pour Laskowski, particulièrement complexe pour Priore), avec un dénominateur commun : la production de champs électriques monopolaires (de même sens) intenses, de Haute Fréquence et de haut voltage et dénommés CELP.
De nombreuses expériences sont décrites, toujours avec succès, sur des cancers incurables, ou des infections mortelles. Ces expériences menées par l’INSERM /CNRS ont permis d’établir que l’action des CELP est indirecte : elle passe par une intense stimulation des défenses naturelles. Elles ont été publiées à l’académie des sciences dans le plus grand scepticisme aggravé par la non-divulgation par les inventeurs de certains paramètres de fonctionnement des appareillages.
S’y ajoute une brève histoire des travaux du laboratoire ARTEC et du Dr B. Murzeau à l’origine de la compréhension du phénomène ainsi qu’une réflexion sur le développement de cette technique sans effet secondaire appelée à remplacer la majorité de nos traitements conventionnels dans un avenir proche. Elle fait appel à des générateurs modernes d’impulsions électriques Haute Fréquence « polarisées » très particulières (CELP)
Outre les perspectives immédiates, d’extraordinaires progrès dans l’éradication des cancers et maladies dégénératives, une page est dédiée aux stupéfiantes possibilités d’action anti-âge et de régénération dont l’action anticancéreuse n’est qu’un aspect.
LAKOWSKI et PRORE :
l’histoire de ces pionniers français : G Laskowski et A Priore (voir pages correspondantes)
Années 50 : Antoine PRIORE, (*)
Français d’origine italienne conçoit à Bordeaux, avec très peu de moyens, de puissants émetteurs « d’ondes » éradiquant toute forme de cancer animal incurable et inopérable (rats, souris lapins …) quelque en soit l’importance et le type.
L’application à l’Homme nécessitant d’augmenter considérablement la puissance des appareils, l’inventeur employa la majeure partie de son temps à la collecte de fonds
Malgré des expériences impeccables et concluantes en milieu universitaire, des résultats extraordinaires (jusqu’à 100% de guérisons sans aucune douleur ni séquelle), la collaboration de l’université de Bordeaux, de la recherche publique (INSERM, CNRS, Armée etc.) …, les « hautes sphères », « l’intelligentsia médicale » incrédules préfèrent le traiter de charlatan et déclenchent une polémique scientifique nationale qui perdurera après sa mort en 1983
Amer il ne laisse aucune note permettant les réglages délicats de ses appareils. Il eut des successeurs universitaires et industriels … sans succès …avant les travaux d’ARTEC ; nous y reviendrons…
(*) l’œuvre de Priore doit être associée au Pr PAUTRIZEL éminent professeur de médecine consacrant sa vie aux expérimentations (et dont le laboratoire INSERM fut fermé pour cette collaboration !). Il démontre le mécanisme anticancéreux des « ondes » : elles démasquent les anomalies des cellules cancéreuses. Ce qui permet leur visualisation par le système immunitaire qui ensuite les détruit.
Electricité et cancers : Le fabuleux secret d'A.PRIORE
Entre 1950 et 1975 des milliers d’animaux furent guéris de cancers incurables, sans douleur, quel qu’en soit le type la taille ou la localisation. Essentiellement par la spectaculaire augmentation des défenses naturelles stimulées par les champs électriques émis par ses appareils
Ici, dans une très modeste maison de la banlieue bordelaise se pratiquèrent les premières expériences en collaboration étroite avec certains professeurs du centre anticancéreux et de la Faculté de Médecine de Bordeaux ainsi que plusieurs membres de l’Académie des Sciences Ces équipes établissent que les guérisons sont proportionnelles à la puissance du champ : guérison 100% sur rats et souris. Les animaux plus gros (lapins, Chats, chiens), nécessitent un temps d’irradiation plus long pour stériliser la tumeur. De nombreuses expériences au protocole impeccable conduites principalement par le Pr PAUTRIZEL (INSERM), établissent que l’action est indirecte, agissant partiellement sur la tumeur (apoptose ou suicide des cellules cancéreuses) mais essentiellement par une extraordinaire stimulation du système immunitaire*.
*Il est possible au contraire d’effondrer le système immunitaire en modifiant certaines caractéristiques du rayonnement)
Les travaux d’A. PRIORE assisté du Pr. R. Pautrizel permettent l’amélioration spectaculaire ou la guérison de cancers et de maladies dégénératives par l’emploi d’ondes, dans la continuité d’un autre pionnier Français : Georges Lakowski. (Voir le chapitre)
Les multiples expériences conduites par Pautrizel / INSERM, ont montré que l’action est indirecte, agissant partiellement sur la tumeur (apoptose c’est-à-dire suicide des cellules cancéreuses) mais surtout stimulation extraordinaire du système immunitaire (les défenses naturelles).
100% efficaces sur les petits mammifères les résultats sont nettement moins nets chez l’homme, en particulier sur certains cancers profonds que les « ondes » atteignent plus difficilement.
* Chez l’homme : de nombreuses tentatives sont menées, souvent sur des malades considérés comme incurables par les traitements classiques (voir chapitre).
Ces « essais de compassion », réalisés à la demande de malades, de médecins traitants, de professeurs de la Faculté de Médecine, ont tous montré une spectaculaire amélioration de ces patients condamnés, une amélioration sensible de l’état général avec disparition des douleurs et une régression systématique de leur tumeur et parfois leur disparition ! (Ces observations ont fait l’objet de rapports médicaux)
L’inconstance des résultats chez l’Homme est due – outre l’état désespéré de la maladie- à la puissance insuffisante des appareils car on comprend que ce qui est suffisant pour guérir un rat de trois cents grammes ne le soit pas pour traiter un homme de soixante-dix kilos.
Quant au dernier appareil nommé M600 (son énorme ampoule de traitement mesurait 60 cm de diamètre et … trois mètres de haut !) il nécessite un immeuble de trois étages**.
L’immense problème de Priore (qui établit les bases de ses découvertes dès 1950) fut de construire des appareils délivrant d’importantes puissances capables de traiter l’humain, tout en conservant la maîtrise de sa découverte.
Cet acharnement à ne rien divulguer, cette volonté de diriger seul d’énormes défis technologiques l’époque furent la cause principale de son échec dans la reconnaissance de sa fantastique découverte.
Après sa mort en1983, plusieurs laboratoires – dont certains prestigieux soutenus par le conseil régional d’Aquitaine, le CEA, le ministère de la Recherche etc… et dotés de très importants crédits – ont tenté de retrouver les résultats de Priore… sans succès. Leur hypothèse était fausse … Priore était rusé, il taisait le secret des réglages des appareils pour ne pas se faire piller (les tentatives ne manquèrent pas …) … Ce fut un échec …
En collaboration étroite avec CNRS / Université etc., Priore guérit sans aucun effet secondaire dans les années 50 des milliers d’animaux atteints de cancers incurables en les soumettant à des champs électrostatiques Haute fréquence émis à distance. Quel que soit le type et l’évolution du cancer ! Cultivant le gout du secret il oriente les autres chercheurs sur une piste sans lendemain et prône une théorie farfelue censée expliquer ses résultats ce qui lui vaut jusqu’à sa mort l’ostracisme de la communauté scientifique. Après sa mort en 83, faute de comprendre le mode d’emploi de ses appareils l’Université de Bordeaux, regroupée autour du laboratoire « PIOM » échouera à retrouver les paramètres de fonctionnement.
Celui-ci sera expliqué par un laboratoire indépendant (ARTEC) et son fondateur le Dr. B. Murzeau. (voir laboratoire ARTEC et expérimentations)
Années 1920 : Georges LAKOWSKI
La France est alors pionnière d’une technique révolutionnaire : le traitement des cancers par ondes « électriques ».
Ingénieur français d’origine Russe Lakowski guérit de nombreux cancers cutanés incurables en particulier cutanés ou peu profonds (action moindre sur les cancers profonds) par application indolore, à distance, d’ondes « électromagnétiques » délivrées par un appareil de conception relativement simple *.
(*) sur le principe d’une bobine de Ruhmkorff alimentant deux antennes concentriques, siège d’importants champs électrostatiques, entre lequel on place le patient. Les traitements sont effectués dans de multiples hôpitaux européens et en particulier à Paris (hôpital de la Salpêtrière, mondialement connu).
À cette époque l’essor de la radiothérapie et chimiothérapie représentent seuls le formidable espoir de la médecine anticancéreuse. De plus les réussites du traitement « électrique » de Lakowski sont indéniables mais inconstantes (le protocole des séances :
Durée, rythme, etc. est empirique … et on ne dispose que de peu d’appareils) … et puis l’inventeur n’a pas suivi la voie royale de la médecine… Malgré les publications les « grands mandarins » se méfient de l’inventeur totalement désintéressé (il se refuse à prendre des brevets) et de ses théories qui semblent fumeuses. Aussi malgré ses succès et la diffusion des appareils en Europe et Amérique le procédé tombe dans l’oubli.
Ces pionniers ont terrassé nombre de cancers incurables, sans effets secondaires, par impulsions électriques haute fréquence. Leurs travaux anticancéreux débouchent sur la notion générale d’anti-vieillissement par régénération des organes.
(*) sur le principe d’une bobine de Ruhmkorff alimentant deux antennes concentriques, siège d’importants champs électrostatiques, entre lequel on place le patient. Les traitements sont effectués dans de multiples hôpitaux européens et en particulier à Paris (hôpital de la Salpêtrière, mondialement connu).
À cette époque l’essor de la radiothérapie et chimiothérapie représentent seuls le formidable espoir de la médecine anticancéreuse. De plus les réussites du traitement « électrique » de Lakowski sont indéniables mais inconstantes (le protocole des séances :
Durée, rythme, etc. est empirique … et on ne dispose que de peu d’appareils) … et puis l’inventeur n’a pas suivi la voie royale de la médecine… Malgré les publications les « grands mandarins » se méfient de l’inventeur totalement désintéressé (il se refuse à prendre des brevets) et de ses théories qui semblent fumeuses. Aussi malgré ses succès et la diffusion des appareils en Europe et Amérique le procédé tombe dans l’oubli.
1932: Régénération du cou
patiente de 82 ans
(traitement par champs électrique- LAKOWSKI).
Avant et après traitement : disparition des rides et régénération de la peau
Laskowski : 1927 Avant et après
traitement d’un cancer incurable
(spinocellulaire) de la face.
disparition du cancer, des rides et régénération de la peau.